Histoire de se changer les idées et de profiter, nous décidons de nous rendre au Hard Rock Cafe pour prendre un rafraichissement: ici un cocktail de fruits très frais. Quelques touristes pré-pubères accompagnant le tout, à dire au passage. Bon, addition. 25 euros. Il était vraiment bon le rafraichissement! Pour mieux faire passer la pilule nous avons droit à deux verres "Hurricane" gratuits. Ouf.
Bon, on dégage. On remonte le boulevard Haussmann, puis pèlerinage jusqu'à notre beau Ministère de la Justice sur la Place Vendôme. Déception, aucune trace de Rachida. Pour se consoler direction l'Elysée. Pareil, pas de Nicolas ou de Carla en vue. Echec cuisant. Même échec place Beauveau, MAM qui n'est même pas dans la place... Bon, direction Grand Palais, plutôt sympathique, puis notre belle Assemblée des absents... Euh Assemblée Nationale pardon.
On continue la promenade jusque Quai d'Orsay, Bernard ne fait pas de représentation ce soir... Direction boulevard St Germain puis passage à Solférino, ralala, le mythique siège du PS. Photo en contre-bas (looooseeeers!) pour ceux qui sont toujours sceptiques. Bon en même temps, aucun socialiste en vue... On remonte jusque le Quai Voltaire, Chirac devait déjà être au Gabon.
Puis vint l'heure de manger, direction le Poulet Frit du Kentucky. Pardon, Kentucky Fried Chicken, on a déjà pris l'habitude de respecter la langue française comme le font les québecois. Et Paris ne serait pas Paris s'il n'y avait pas de grèves tous les jours. Ce soir, c'est à KFC que ça se passe. Les licenciés pas contents ont l'idée ingénieuse de ramener leurs sifflets de manif, mais cette fois directement dans le restaurant. Bravo, deux clients en moins, direction République. Nouvel échec, KFC fermé, mais retour au précédent avec la promesse du Directeur Pierre de nous offrir deux menus gratuits après notre aller-retour.
Miam! On est déjà pressés de manger. Bon, début de queue, 30 minutes interminables d'attente. Et puis finalement, le Pepsi ne fera pas l'affaire, le Coca reste valeur sûre. Alors du cup, jus d'orange pour le kéké devant. Enfin à nous qui demandons nos deux menus, mais malgré l'insistance, il se trouve que le manager un peu parano ne veut pas céder devant les caprices de deux clients assez frustés pour le coup. Tant pis, on se rabat sur un Maxi Bucket avec un Twister...
Et c'est de l'employé du mois que la lumière nous apparut, en nous réclamant seulement 16 euros pour le tout. Le clin d'oeil ne trompe pas, le twister est offert. Le sachet rempli, surprise, il nous en a même mis deux. L'employé du mois c'est certain, il sait s'y prendre avec ses clients, mais doit couter cher en Twisters... En tout cas, le moral remonte. Demain sera le grand jour.
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